Pour Baba Diawara et Tony Tissier, animateurs au service jeunesse de la ville et principaux organisateurs de ce festival, c’est la culture dans l’espace urbain, dans toute sa diversité, à une époque donnée. Une culture qui n’a pas de frontières et qui se nourrit de son environnement. Les cultures urbaines sont en perpétuel mouvement et évoluent au rythme de l’actualité, de l’urbanisme, des habitants pour tenter d’être toujours en phase avec l’air du temps.
C’est cette notion de mouvement qui anime les organisateurs de J2K. Chaque année, le festival propose un programme nouveau, avec des surprises mais toujours la volonté de rassembler, de fédérer.